Un marché du logement à plusieurs vitesses sous l’effet de la métropolisation

L’évolution de la répartition de l’offre de logements et celle des ventes par grandes zones, orientées par la politique du logement, concourent à la recomposition du marché de l’habitat et au phénomène de métropolisation du territoire. Un marché à plusieurs vitesses est en train de s’ancrer sous cet effet. Le marché du logement connaît un déséquilibre territorial croissant. En zones A et Abis, les réservations de logements en collectif ont représenté 48 % du total des réservations (prix moyens de 6 579 €/m2 en zone Abis, et de 4 256 €/m2 en zone A), contre 42 % en zone B1, avec un prix moyen autour de 3 695 €/m2. Dans les zones B2 et C, elles sont passées de 24,7 % en 2009 à 10 % en 2019 avec un prix moyen de 3 654 €/m2 au 2ème trimestre (en hausse de 11,8 % sur un an glissant). Le problème du zonage Dans l’ancien, les prix moyens des logements augmentent sur un an de 3,2 % au T2 2019, à un rythme qui se maintient autour (...)

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