Si l’abandon du projet Europacity (lire notre article), initialement prévu à Gonesse (95), a marqué le troisième conseil de défense écologique, le 7 novembre, ce n’est pas la seule décision prise par la structure interministérielle, créée à l’issue du grand débat national, et qui s’est une nouvelle fois penchée sur les friches industrielles, commerciales, urbaines ou militaires, dans le but de "lutter contre l’artificialisation des sols", de "développer des énergies renouvelables" ou encore de "rendre ces espaces à la nature", a indiqué Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire.
En mai dernier, le premier conseil avait lancé un travail d’inventaire national des friches, recensant environ 2 400 sites. Une plateforme en Opendata est en cours de développement pour les faire connaître aux porteurs de projets. Un groupe de travail sur l’artificialisation des sols mené par Julien Denormandie, ministre de la Ville et du (...)
Réhabilitation de friches : le conseil de défense écologique retient cinq projets pilotes
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