La conférence annuelle donnée par la Chambre des Notaires de la Gironde, le 26 février, a été l’occasion de tirer les conséquences de la crise sanitaire sur le marché immobilier girondin. A l’échelle du département, le bilan fait apparaître deux tendances : une nette baisse (- 8,7 %) des volumes de ventes, avec une baisse plus notable du côté des maisons anciennes (-11 %) ; et dans le même temps, une hausse significative des prix tous secteurs confondus (+ 5,3%), notamment dans la métropole bordelaise, le Bassin d’Arcachon, le Médoc et le Libournais.
Autre fait majeur : à Bordeaux intra-muros, la hausse des prix médians n’est que de 0,7 %, preuve que la capitale girondine a "atteint son plafond de verre après avoir augmenté pendant des années". Une stabilisation qui n’empêche pas Bordeaux de garder la 3e position (après Paris et Lyon) de ville la plus chère de France. Et de voir certains quartiers, plus résidentiels et familiaux (...)
Logement ancien en Gironde : ventes à la baisse, prix à la hausse
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